Tout d’abord, si vous êtes un professionnel et que votre activité est commerciale, alors vous êtes en majeur partie concerné par l’acquisition d’un logiciel de caisse. En effet, le logiciel de caisse est adapté aux activités commerciales particulièrement destinées à des clients dits particuliers.
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Le logiciel d’encaissement est un élément incontournable à la bonne tenue de votre activité professionnelle, permet de disposer de différentes fonctionnalités et ainsi permet de gérer les différents aspects de gestion de votre commerce. Depuis 2018, dans le cadre de la lutte contre la fraude à la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), la loi impose aux éditeurs de logiciel de caisses de proposer des produits conformes et certifiés à leurs clients.
Chaque commerçant peut disposer d’un logiciel de caisse car c’est un système efficace et opérationnel pour gérer l’encaissement, l’édition de tickets de caisse, le scan des codes-barres, la lecture des cartes bancaires, gérer les stocks, assurer la prise de rendez-vous, gérer le marketing, etc.
De nos jours, le logiciel de caisse est devenu une technologie polyvalente qui couvre les différents besoins commerçant actuel et répond de manière optimale aux clients. Il permet de profiter d’un gain de temps grâce aux progrès techniques et s’adapte facilement aux différents terminaux numériques, que ce soit les tablettes, les ordinateurs ou bien même les smartphones. Innovant et performant, le logiciel de caisse est un indispensable afin de faire tourner votre commerce.
Cependant, la certification de logiciel de caisse ne concerne pas tous les professionnels disposant d’un logiciel de caisse. Les personnes concernées par cette obligation de certification doivent disposer d’un logiciel de caisse qui respecte l’inaltérabilité, la sécurisation, la conservation et enfin l’archivage des données exploitées.
Les professionnels concernés par la certification des logiciels de caisse sont les assujettis à la TVA, c’est-à-dire les personnes morales et physiques, tout secteur d’activité confondu, qui proposent des offres de produits et services, qui ne génèrent pas de factures et qui s’opèrent auprès de particuliers.
Il existe des cas particuliers qui ne sont concernés par cette réglementation tels que les professionnels soumis au régime du remboursement forfaitaire de TVA agricole, les professionnels réalisant uniquement des opérations exonérées de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et ainsi que les assujettis à la TVA profitant du régime de la franchise.